Il s'agit du deuxième segment par ordre de taille dans le secteur de la construction qui reste un des secteurs les plus fragiles avec le commerce et les transports.
La récolte de données a été effectué sur un total de 2 151 187 entreprises actives, disposants d'un score, d'un avis de limite de crédit et d'un DBT score. Selon les mêmes critères les entreprises de l'activité travaux d'installation électrique dans tous locaux représentent 1,55% pour 34 355 entités.
Le score moyen actuel sur l'activité se traduit surtout au niveau des liquidités où la situation de 56 jours de CA en trésorerie nette globale. Pour autant, les ratios de liquidités démontrent là encore un gap entre les liquidités restreintes à 0,82 et les liquidités générales à 2.
Ce qui veut dire que l'usage des disponibilités est nécessaire pour pouvoir combler. Si la trésorerie est appréciable, l'endettement est lui aussi relatif avec une solvabilité à 52% pour une indépendance financière à 229%.
Néanmoins, l'endettement sur le CA est de 136 jours soit 37%. Les marges réalisées dans cette activité sont correctes avec 8,7% de marge nette en médiane.
Le cashflow étant de 11% pour une rentabilité économique de 21%. Cette capacité motrice représente un potentiel de remboursement des dettes de 18% soit 5 ans. Si cette capacité est très honorable, elle rejoint néanmoins cette fragilité sur l'état des liquidités qui s'observera par la suite sur les délais théoriques.
L'avis de limite moyen de crédit de l'activité demeure inférieure à la moyenne nationale mais la tranche supérieure indique malgré tout la présence de structures intermédiaires importantes.
Le total actif moyen est de 1 800 000 € pour un CA moyen de 1 267 000 €.
La présomption est donc confirmée mais valide aussi une problématique motrice qui valide le point exprimé sur les liquidités qui se retrouve invariablement sur la ligne des disponibilités et dans les balances.
Le délai de paiement (DBT) est standard comparativement à la moyenne nationale. La majorité des entreprises étant réparties entre 1 et 10 jours de retard.
Cela représente un impact sur la performance identifié empiriquement par les éléments transmis sous un aspect collaboratif avec nos partenaires. Le DSO est de 75 jours pour un DPO de 43 jours dans l'activité.
Cela représentant un impact via le BFR qui confirme le point évoqué sur les liquidités. Mais cela confirme également une problématique de performances.
L'impact sur la performance étant ici respectivement de 50% via les créances et 43% via les dettes fournisseurs. Ce qui est considérable.
Avec les indicateurs que Creditsafe met à votre disposition, nous limitons le risque pouvant survenir concernant vos clients ou vos fournisseurs en raison de problématiques inhérentes au fonctionnement de l'entreprise ou en raison de facteurs externes.
Creditsafe peut vous accompagner au quotidien en vous permettant de vous renseigner sur vos partenaires commerciaux, en les incluants dans une dynamique économique globale.