Aujourd’hui, beaucoup d’entreprises cherchent à appréhender ces notions et savoir comment mettre en place les bonnes pratiques. La réalité est que les labels et les références en matière de RSE (ISO 26000, ISO 14001, ISO 45001, ISO 50001…) doivent trouver une application sur l’ensemble du modèle d’affaires. Les acteurs destinés à apporter des informations dans ces domaines (visant à remplir les obligations de moyens) et les conseillers (visant à orienter les démarches) sont précieux. Mais il s’agit avant tout pour les entreprises d’agir avec pragmatisme sur tous les plans concernant la vie de l’entreprise en gardant cette logique de virtuosité et bienveillance : bien-être salarial, conformité, respect de la parité, équilibre dans la pyramide des âges, RGPD, gestion de l’énergie et des déchets de l’entreprise, ouverture sociale, transparence fiscale… Ce sont autant de sujets déjà au cœur des préoccupations.
Les domaines pouvant être mis en place dans la conduite de l’entreprise, peuvent faire l’objet de décisions et d’orientation aussi bien sur le management que l’offre. Cela peut aussi orienter les perspectives et les transformations à opérer pour adhérer au monde de demain. Ces changements concourent à l’image positive de l’entreprise au-delà de la simple logique de performance financière. « Soyez responsables » reste le principal message, ce qui implique une démarche active dépassant le cadre de la coercition légale. Loin d’être une contrainte, la RSE et l’ensemble des éléments extra-financiers constituent une plus-value pour l’entreprise, symbole de sa virtuosité et de son impact bénéfique pour le tissu économique et social. Cette démarche inclue une dynamique globale qui protège aussi l’entreprise des risques internes et externes.